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Impressions : Rhythm Thief & Les Mystères de Paris

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Ca à l’allure d’un Layton des grands jours, ça en aurait d’ailleurs presque l’odeur. Et pourtant, Rhythm Thief & Les Mystères de Paris n’a rien, mais…

Ca à l’allure d’un Layton des grands jours, ça en aurait d’ailleurs presque l’odeur. Et pourtant, Rhythm Thief & Les Mystères de Paris n’a rien, mais alors rien à voir DU TOUT avec la série de Level-5. Développé par SEGA, le soft s’apparente en effet bien plus à un jeu musical qu’à une suite d’énigmes. Et ce n’est pas pour nous déplaire.


Une patte graphique particulière

Rhythm Thief & Les Mystères de Paris fait indéniablement partie de ces jeux destinés à la 3DS que je suis de plus ou moins près depuis leurs annonces. Avec sa patte graphique qu’on croirait presque inspirée par les travaux du studio Level-5 (Layton aura décidément aidé à déformer le regard de nombreux joueurs), voir de l’excellent Lupin III de Kazuhiko Katô (je suis allé la chercher loin, celle là…), il n’a effectivement pas tardé à semer le trouble sur ses origines et sur le style qu’il s’est décidé d’adopter. Il faut dire que le fait qu’il ait vu son développement chaperonné par l’illustre Shin Nakamura (un vieux de la vieille, à qui l’on doit par exemple la bonne série Aero Fighters, qui doit sans doute parler aux fans des shoot’em up sauce old-school) n’est pas étranger à cette envie d’en savoir plus. Inutile d’y aller par 4 chemins : s’il offre quelques phases d’exploration, ce jeu est avant tout un bête rhythm game qui vous demandera, où plutôt : qui vous imposera le respect d’un timing on ne peut plus précis. Rapide au démarrage, il vous colle aux commande d’un certain Raphaël, à la recherche d’un énigmatique bracelet. Et c’est tout ? Pardi, non. Le personnage devra également faire la lumière sur la disparition de son paternel. Bon, on imagine que le scénario du soft sert surtout d’habillage général, lui empêchant de prendre l’allure d’une production trop vite expédiée. Du genre de celles aux épreuves se suivant inlassablement, et qu’on boucle en une petite après midi, bien enervé.

Les ballades en musée ne sont plus ce qu'elles étaient !

Du rythme, que Diable !

Et ce sont d’ailleurs justement ces mêmes épreuves qui devraient permettre à la production de tirer ou non son épingle du jeu. Lancées à chaque fois qu’un événement particulier vient bousculer la trame posée, elles reprennent les bases du jeu de rythme classique. Et oui : des éléments de danse ont été inclus dans ce Rhythm Thief & Les Mystères de Paris. Pour vous donner un exemple concret d’épreuve croisée lors des premières minutes de jeu, il a fallu permettre au personnage de Raphaël de suivre les mouvements d’une danse imposée, en mimant des mouvements sur l’écran inférieur de la 3DS, tout en respectant un timing diablement cruel. Ainsi, notre protagoniste, lancé en pleine course au sein d’une galerie d’art fermée au public, a du prendre diverses poses à des moment cruciaux pour se fondre derrière des statues, et éviter les attaques lancées par les gardes à ses trousses. Ces poses sont régies une fois encore via l’écran tactile de la console de Nintendo. Très agréables à jouer, ces phases sont, comme je l’évoquais quelques lignes plus haut, déclenchées à des moments bien précis de l’aventure pour une question de timing et de rythme. Les développeurs ont alterné ces phases par des moments de recherche du style point & click, où vous devrez passer votre stylet sur divers endroits de la scène dépeinte à l’écran, dans le but de mettre en exergue l’information ou l’objet qui vous autorisera à avancer. Aussi, on remarquera que Raphaël se déplace sur une espèce de carte du monde, ce qui lui permettra de ne pas perdre de temps lors des nombreux aller-retour qu’il aura a effectuer. Un jeu de rythme paré d’un habillage qui lui confère des airs de production galbée pour les apprentis aventuriers, voilà ce que semble donc être ce Rhythm Thief & Les Mystères de Paris. A voir s’il saura tenir sur la longueur, et si ses mécanismes ne nous paraîtront pas trop limités. Et on préfère vous le dire tout de go : ce ne sont pas les effets 3D qu’il dégage qui viendront le sauver. Le rendu 3D du jeu est au final assez mis en retrait, et ne semble pas apporter grand chose, si ce n’est rien, au soft. Bon…

Ca à l’allure d’un Layton des grands jours, ça en aurait d’ailleurs presque l’odeur. Et pourtant, Rhythm Thief & Les Mystères de Paris n’a rien, mais alors rien à voir DU TOUT avec la série de Level-5. Développé par SEGA, le soft s’apparente en effet bien plus à un jeu musical qu’à une suite d’énigmes. Et ce n’est pas pour nous déplaire.


Une patte graphique particulière

Rhythm Thief & Les Mystères de Paris fait indéniablement partie de ces jeux destinés à la 3DS que je suis de plus ou moins près depuis leurs annonces. Avec sa patte graphique qu’on croirait presque inspirée par les travaux du studio Level-5 (Layton aura décidément aidé à déformer le regard de nombreux joueurs), voir de l’excellent Lupin III de Kazuhiko Katô (je suis allé la chercher loin, celle là…), il n’a effectivement pas tardé à semer le trouble sur ses origines et sur le style qu’il s’est décidé d’adopter. Il faut dire que le fait qu’il ait vu son développement chaperonné par l’illustre Shin Nakamura (un vieux de la vieille, à qui l’on doit par exemple la bonne série Aero Fighters, qui doit sans doute parler aux fans des shoot’em up sauce old-school) n’est pas étranger à cette envie d’en savoir plus. Inutile d’y aller par 4 chemins : s’il offre quelques phases d’exploration, ce jeu est avant tout un bête rhythm game qui vous demandera, où plutôt : qui vous imposera le respect d’un timing on ne peut plus précis. Rapide au démarrage, il vous colle aux commande d’un certain Raphaël, à la recherche d’un énigmatique bracelet. Et c’est tout ? Pardi, non. Le personnage devra également faire la lumière sur la disparition de son paternel. Bon, on imagine que le scénario du soft sert surtout d’habillage général, lui empêchant de prendre l’allure d’une production trop vite expédiée. Du genre de celles aux épreuves se suivant inlassablement, et qu’on boucle en une petite après midi, bien enervé.

Les ballades en musée ne sont plus ce qu'elles étaient !

Du rythme, que Diable !

Et ce sont d’ailleurs justement ces mêmes épreuves qui devraient permettre à la production de tirer ou non son épingle du jeu. Lancées à chaque fois qu’un événement particulier vient bousculer la trame posée, elles reprennent les bases du jeu de rythme classique. Et oui : des éléments de danse ont été inclus dans ce Rhythm Thief & Les Mystères de Paris. Pour vous donner un exemple concret d’épreuve croisée lors des premières minutes de jeu, il a fallu permettre au personnage de Raphaël de suivre les mouvements d’une danse imposée, en mimant des mouvements sur l’écran inférieur de la 3DS, tout en respectant un timing diablement cruel. Ainsi, notre protagoniste, lancé en pleine course au sein d’une galerie d’art fermée au public, a du prendre diverses poses à des moment cruciaux pour se fondre derrière des statues, et éviter les attaques lancées par les gardes à ses trousses. Ces poses sont régies une fois encore via l’écran tactile de la console de Nintendo. Très agréables à jouer, ces phases sont, comme je l’évoquais quelques lignes plus haut, déclenchées à des moments bien précis de l’aventure pour une question de timing et de rythme. Les développeurs ont alterné ces phases par des moments de recherche du style point & click, où vous devrez passer votre stylet sur divers endroits de la scène dépeinte à l’écran, dans le but de mettre en exergue l’information ou l’objet qui vous autorisera à avancer. Aussi, on remarquera que Raphaël se déplace sur une espèce de carte du monde, ce qui lui permettra de ne pas perdre de temps lors des nombreux aller-retour qu’il aura a effectuer. Un jeu de rythme paré d’un habillage qui lui confère des airs de production galbée pour les apprentis aventuriers, voilà ce que semble donc être ce Rhythm Thief & Les Mystères de Paris. A voir s’il saura tenir sur la longueur, et si ses mécanismes ne nous paraîtront pas trop limités. Et on préfère vous le dire tout de go : ce ne sont pas les effets 3D qu’il dégage qui viendront le sauver. Le rendu 3D du jeu est au final assez mis en retrait, et ne semble pas apporter grand chose, si ce n’est rien, au soft. Bon…

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